Retrouvez dans cette rubrique les résumés de match humoristiques de Cédric.
Dans les rubriques Seniors et Vétérans de la Baldacchinade vous pourrez retrouver les résumés des autres journées : Bonne lecture !
Salut les gars !
Huit mois après mon dernier résumé, je reprends ma plume pour rédiger une nouvelle Baldacchinade qui sera bien plus courte que celles de la précédente saison. Promis !
Ce lundi, l’AS Margeray A retrouvait la poule Élite, un championnat qu’elle n’avait plus disputé depuis longtemps et qui rassemble les meilleures équipes du Comité 13. Notre adversaire du soir, l’AS 8ème, a d’ailleurs terminé 3ème de cette poule l’an dernier.
Après 5 matchs amicaux, nous disputions notre deuxième match officiel de la saison. En effet, la semaine dernière, le SC Beaudinard, l’équipe de nos anciens coéquipiers pompiers, nous avait battus lors de la première journée du Challenge CDA. Un succès fièrement affiché sur les réseaux sociaux : « Victoire 2-1 contre le vainqueur de la Coupe de France 2017-2018. On lâche rien ! ». Cette saison, on sera vraiment l’équipe à battre.
Ce soir, Gilles, un moment incertain, sera finalement présent sur le banc, et non sur le terrain comme la semaine dernière. Oufff ! Coach Favier sera assisté de Kévin Corot et moi, un staff qui rendrait jaloux les plus grosses écuries européennes. Le trio est effectivement très complémentaire avec le sérieux de Gilles, mon côté comique et le rayonnement international de Kévin, autrefois surnommé Kim K, alias Kim Kardashian. Notre meilleur buteur actuel a même failli manquer ce match tant il était occupé à nettoyer le siège passager de sa propre voiture qu’il avait dégueulassé en vomissant ! Ce week-end, Kévin avait apparemment été victime d’une cuite mémorable et surtout d’un sachet peu résistant qui s’était troué…
Notre effectif était privé de ses trois joueurs les plus efficaces avec un but marqué par match : Corot (9/9), Wacou (3/3) et Pasqualini (1/1). Nos trois buteurs ont trouvé des excuses pour conserver leur ratio sans jouer : les deux premiers se disent blessés et le troisième se serait octroyé un week-end à Barcelone. Nous démarrerons donc le championnat avec le trio offensif Spinella-Persia-Parpeix au bilan impressionnant de 0 but marqué en 6 matchs joués ! Kévin Persia a bien marqué sur un centre-tir contre La Cayolle (5-3) mais comme Harry Kane n’avait pas fait exprès, ce but ne comptera pas.
À 25 minutes du coup d’envoi, Gillou nous gratifiait d’un bref discourt de 15 minutes, qui était suivi d’un court échauffement de 10 minutes, précédant une expéditive bonne entame de notre part de 5 minutes.
C’est ainsi qu’au bout de quelques minutes de jeu, Nicolas Coutton était surpris par un long ballon. Trop court, notre latéral se laissait déborder par son vis-à-vis qui centrait pour un coéquipier. L’AS 8ème prenait alors l’avantage (1-0). Fautif sur cette action, Mr Bean était sans doute fatigué par les 8 km qu’il parcourt tous les lundis à midi. Nico a toutefois promis d’arrêter ses footings tant il est inquiet du retour annoncé de son concurrent au poste de latéral gauche, le boucher margelien : Morgan Ferrara. Bon, vu l’identité de la concurrence, Nicolas peut tranquillement continuer à aller courir avant nos matchs.
Après ce but encaissé, notre équipe réagissait en se procurant les meilleures occasions : Thomas frappait de peu à côté, Daniel ne cadrait pas une reprise de la tête et Spi voyait sa frappe remarquablement détournée par le portier adverse. Les joueurs des quartiers sud se procuraient, quant à eux, leur deuxième et dernière opportunité de la première mi-temps. Asur n’arrivait pas à dégager un centre venu de la droite mais Nicolas Pelloux, notre nouveau gardien, restait vigilant et détournait le ballon d’une judicieuse claquette. Nicolas, seule recrue alignée au coup d’envoi, aura la lourde tâche de succéder à Damien qui est allé finir sa carrière dans la prestigieuse équipe vétéran de la SCO Ste Marguerite malgré un pont d’or présidentiel. Pelloux, lui, n’aura rien coûté à notre club puisqu’il était libre depuis la résiliation de son contrat avec l’OM au mois de janvier dernier.
Par la suite, nous nous montrerons encore dangereux sur des centres qui ne trouveront malheureusement pas preneur. Julien se faisait alors remarquer sur deux coups francs. Le premier était tiré de façon vicieuse sans qu’aucun margelien ne coupe sa trajectoire. Le second était dégagé de façon peu académique du pied par le gardien local qui n’aura finalement que la couleur de sa peau de commun avec El Fenomeno, Mandanda… Oupps ! Une blague raciste. Désolé !
Hormis une frappe de Persia qui frôlait la barre transversale, je ne pourrai pas commenter les dix dernières minutes de ce premier acte car je cherchais vainement notre ballon Patrick dans la boue et les broussailles au pied de la bute du stade de la Fourragère. Lorsque je pénétrais fièrement sur la piste d’athlétisme en possession de notre ballon, une image me revenait immédiatement à l’esprit : celle de l’arbitre hollandais du tournoi d’Amsterdam en 2017 qui, après avoir cherché le ballon pendant notre match contre les Anglais, était réapparu de derrière les buissons pour siffler un corner en notre faveur alors qu’il n’avait même pas vu l’action !
La fin de la première période était sifflée. Dans les vestiaires, Gilles précisait que notre prestation n’était pas mauvaise et qu’il ne manquait pas grand-chose pour changer le cours du match. Et ce petit quelque chose portait un nom, Florent Gainnier, qui rentrait meneur de jeu dans une équipe réorganisée en 4-2-3-1. On ne sait toujours pas si Florent est muet mais, en tout cas, il s’exprimera sur le terrain pour participer à la remontada margelienne.
Après la pause, Pelloux allait donner des sueurs froides à ses coéquipiers. Trop facile, le numéro 1 rouge et noir était coupable d’une mauvaise relance sur un attaquant adverse qui, fort heureusement, voyait son lob rebondir juste au-dessus de la transversale : c’était le tournant du match.
À partir de la 50ème minute, les bleus et blancs n’arrivaient plus à ressortir de leur camp et nous enchaînions les buts. Capitaine Babikian servait d’abord dans la surface de réparation Thomas qui ouvrait enfin son compteur but grâce à une frappe croisée (1-1). Cinq minutes plus tard, sur une contre-attaque, Spi déviait d’une talonnade un ballon pour lancer au but l’autre Florent. Malgré une solution dans l’axe, Gainnier ajustait le gardien et donnait l’avantage aux visiteurs (1-2). Peu après, Thomas centrait et le Mandanda des quartiers sud relâchait le cuir dans les pieds de Spi qui assommait avec opportunisme l’AS 8ème en marquant son premier but de la saison (1-3). Nos deux buteurs, auteurs de 58 réalisations à eux deux l’an dernier, l’avaient annoncé : ils attendaient l’ouverture du championnat pour marquer.
La suite du match se résumait à des coups de pied arrêtés. Bryan faisait son entrée. Lorsqu’il jouait au Cabot FC, ce dernier m’avait permis de réviser mon anglais à travers mes résumés : « Where is Bryan ? ». L’an dernier, la réponse était « Bryan is in the kitchen » mais cette année, c’est plutôt « Bryan has the nose in the lawn ». En effet, à peine était-il apparu sur le terrain que Bryan s’était fait défoncer par un défenseur et se retrouvait « le nez dans le gazon » pour la deuxième fois en deux matchs. À ce rythme-là, notre nouvelle recrue va battre le record de blessures de notre Mexicain, Matthieu Sancho. Un record que l’on pensait inaccessible !
Pour la troisième fois, Julien tirait un coup-franc ce soir, sans réussite et… sans surprise ! À ce propos, Super Gallo doit toujours me payer un Mc Do pour m’avoir parié qu’il mettrait 10 coups francs l’an dernier : il en a marqué 3… Un autre entrant et nouveau, Jérémy Crochet, a failli marquer un coup franc direct mais sa tentative passait à ras de la lucarne : Crochet, il doit être meilleur en dribblant ! Promis Jérémy, c’est la dernière fois que je fais cette blague pourrie !
À la 70ème minute, Spi voyait son coup franc repousser par le dernier rempart adverse sur Thomas qui s’offrait un doublé (1-4). Margeray continuait à maîtriser les débats et aurait même pu alourdir le score par l’intermédiaire d’un revenant, Benoît Gainnier, mais sa reprise n’était pas cadrée.
On entrait dans le dernier quart d’heure quand l’arbitre siffla un généreux penalty pour les locaux. Thierry, néo-margelien aux origines portugaises (le pauvre), était entré à la place de Nicolas Coutton et venait, selon lui, d’effectuer un tacle licite. Pour qu’il n’y ait plus de doute la prochaine fois, notre amateur de MMA et champion de beach soccer proposait de « briser la nuque » de l’attaquant coupable d’une simulation. Pourquoi pas ? L’autre portugais de l’équipe (le pauvre) jouait alors remarquablement son rôle de capitaine en demandant des explications à l’arbitre : « Tu fais quoi, là ? ». Daniel pris un logique carton blanc qu’il essayait de justifier par une absence de brassard autour de son bras ! Pour l’anecdote, Pelloux stoppait avec autorité le penalty.
La fin du match approchait quand Asur, repositionné arrière gauche, dévissait en touche un dégagement du pied… gauche. Après les relances asurdeuses, voilà les dégagements asurdeux ! Depuis le banc de touche, Gilles criait : « Asur n’est pas gaucher ! ». Merci pour la précision ! Le souci avec Asur, c’est qu’on est sûr qu’il n’est pas gaucher mais on ne sait toujours pas s’il est droitier !
Sous les yeux de Jonathan Parpeix, Margeray remportait son premier match de championnat et prenait de façon anecdotique la tête de la poule Élite. L’appel de notre capitaine à voter pour l’homme du match et à noter ses coéquipiers a remarquablement été entendu par les joueurs avec 10 votants sur 16, un record. Par contre, il va falloir respecter davantage Daniel sur les notes qui lui sont attribuées : il a fallu attendre le dernier votant pour qu’il obtienne une meilleure moyenne (5,6/10) que Kévin Persia (5,5/10) !
Sur ce, rendez-vous le lundi 5 novembre pour notre deuxième match de championnat contre l’AS La Famille qui a battu le FCN Crimée (3-2) lors de cette première journée.
Salut les vieux !
Une semaine après notre faux pas contre les Camoins (1-1), nous rattrapons ce vendredi l’un de nos deux matchs en retard de championnat face au Celtic.
En fait, cette rencontre compte pour deux compétitions : tout d’abord, pour le championnat et le match à rejouer de la 5ème journée (1-0 en notre faveur au coup d’envoi) et, ensuite, pour le Challenge CDA (0-0 au coup d’envoi). La large victoire de ce vendredi (6-1), obtenue face à une équipe celte amoindrie par rapport au premier match, nous permet donc de remonter au classement du Challenge CDA (nous étions 22ème sur 40 équipes engagées après les 3 premières journées) et de revenir à 3 points de Real Padami avec encore un match de retard en championnat.
Après une entame plutôt poussive, il a fallu attendre notre ouverture du score pour enchainer les buts en première mi-temps (5-0) avant de baisser inévitablement de régime en seconde période (6-1). Au-delà de la victoire, la grande satisfaction du soir est d’avoir enfin un banc de touche qui a de l’épaisseur : plutôt normal avec la triple présence de Dominique, Gilles et Steffane qui rivaliseraient avec n’importe quelle première ligne du tournoi des six nations de rugby ! Si on ajoute, Bruno et Noureddine, aussi remplaçants et pouvant officier en tant que deuxième ligne, nous avions sur le banc ce vendredi le pack de la future équipe de rugby de notre club : l’AS Margeray Rugby !!!
La présence de Gilles sur le banc pouvait d’ailleurs paraître surprenante. Était-ce dû à une éventuelle méforme de Gillou ? Ou peut-être à la grosse concurrence de Damien ? Ou bien Gilles voulait-il s’amuser en évoluant dans le champ quelques minutes en cas de résultat très favorable ? Ou alors notre coach voulait-il faire reposer Damien en vue du match de Coupe de France du lendemain ? Une explication improbable puisque Damien court aussi peu quand il est joueur de champ que quand il est au goal ! La véritable justification vient de la mésaventure vécue il y a un an par Gilles contre l’équipe de la Timone : la veille de son départ au ski, il s’était blessé au talon ce qui l’empêcha de skier pendant deux semaines… Il n’était pas question pour lui de se retrouver dans la même galère cette année !
Nous étions donc seize à être présents au stade des Caillols, chose assez rare ces derniers temps pour être signalée. De plus, les retours programmés de Yocco, Sébastien, Lionel, Bruno Balda, Fabien et Jérôme sont plutôt rassurants avant les prochaines échéances.
Après avoir parlé des remplaçants et des blessés, parlons un peu des titulaires du soir. Au moment où Gilles commençait à s’inquiéter de son absence, notre révolutionnaire argentin Daniel pénétrait dans les vestiaires comme pour faire taire les mauvaises langues. De toute façon, Daniel, soit il arrive tôt au stade soit il ne vient pas du tout !
Un autre membre du onze de départ avait du mal à entrer dans un vestiaire qui est pourtant devenu familier pour nous tous. Il s’agissait de Frédéric Bonnet qui ne savait plus s’il fallait tirer la porte pour l’ouvrir ou s’il fallait la pousser !!! Quand on a un surnom comme « Pousse Caca », il est inconcevable de se tromper de sens : il fallait bien sûr POUSSER, action que fait si bien Fred quand il est seul face au gardien adverse ou lorsqu’il est tout simplement sur son trône…
C’est ensuite Laurent, indéboulonnable arrière latéral, qui ouvrit son grimoire pour nous conter une vieille anecdote sur José Touré, international français des années 80, qui était venu voir au siècle dernier Lolo en stage de foot sur ce même terrain des Caillols. Le lendemain, José Touré avait fait une tentative de suicide !!!! Comment pouvait-il en être autrement après avoir observé l’espagnol jouer au foot ? L’image de Laurent avec un ballon dans les pieds devait le hanter à telle point qu’il voulut mettre fin à ses jours. Finalement sorti d’affaire, José Touré a préféré se droguer pour tout oublier… On le comprend !!!
Dans son discours, Gilles expliquait le double enjeu de ce match (championnat et challenge). En observant les gros cerveaux de notre effectif se regarder de façon hagarde, il est fort à parier qu’ils n’avaient pas tout compris des explications pourtant précises du coach. Une fois à l’échauffement, Aymeric et Régis étaient en grande discussion. Parlaient-ils de la problématique de ce match qu’ils n’avaient pas saisie ? Non, non ! Nos deux haltérophiles échangeaient sur le poids utilisé lorsqu’ils commençaient à soulever leurs altères : 12 kg ou 15 kg ? Perso, vous me donnez deux boules de pétanque de 700 g, ça me suffit pour en faire bon usage à l’appoint !
Avant que le match ne commence, nous avons observé une minute de silence en la mémoire du papa de Lionel, qui nous a récemment quitté. Après que l’arbitre ait sifflé le début de cette minute, Damien se mit à applaudir des deux mains en croyant que les soixante secondes étaient passées… C’est ce qu’on appelle une boulette ! Il n’est pourtant pas coutumier du fait contrairement à… Gilles, véritable spécialiste en boulette !
Organisés en 4-4-2, nous débutons le match de façon poussive à l’image de ma magnifique passe en retrait, disons mal ajustée, pour Damien. Nous nous rendons toutefois compte que nos adversaires ne présentaient pas ses meilleurs atouts pour rivaliser comme lors du premier match. Il aura fallu ouvrir le score au bout d’une dizaine de minutes pour débloquer la situation.
Sur notre première offensive, Daniel marquait en ajustant astucieusement un lob suite à une ouverture de Témou (1-0). Peu après, notre goléador était lancé en profondeur par Christophe et doublait la mise en inscrivant son 8ème but en 8 matchs (2-0). Le Celtic était K.O.
Par la suite, un défenseur celte effectuait un tacle en pleine surface de réparation et l’arbitre désignait logiquement le point de pénalty. Fred Manté prit le ballon pour réaliser la sentence. Selon la légende, il aurait d’abord demandé à l’arbitre de tirer le pénalty à moins d’un mètre de la ligne de but pour être sûr de marquer. Devant le refus de l’homme en noir, Fredo était obligé de tirer des 11 mètres : un véritable défi pour lui. « L’homme qui ne marque que lorsqu’il est situé à moins d’un mètre des cages » transformait le pénalty non sans quelques frayeurs puisque le portier celte avait dévié le ballon sur le poteau avant qu’il ne rentre (3-0). Margeray prenait le large !
Nous déroulons ensuite grâce à Fred Bonnet, cette fois. Après avoir manqué quasiment tous ses contrôles depuis le début du match, l’autre Fred se retrouvait seul devant le but vide à la retombée d’un ballon repoussé par le gardien adverse. Comme il était sans opposition, « l’homme qui se chie dessus quand il se présente seul devant le gardien » n’eut aucun problème à conclure cette action (4-0). Les celtes commençaient à sombrer.
Peu avant la mi-temps, nous héritons d’un coup franc excentré côté droit. Aymeric, un spécialiste caché dans ce domaine, prit son élan, s’élança et fouetta le cuir pour centrer… Sa frappe prit la direction de la lucarne sans que personne ne réagisse, pas même le goal visiteur (5-0). Aymeric devient donc « l’homme qui marque des coups francs sans faire exprès ! ».
La pause était sifflée. Coach Favier nous encourageait à respecter notre valeureux adversaire jusqu’au bout mais, inconsciemment, nous allons baisser de rythme. Les remplaçants faisaient leurs entrées et nous aggravons la marque grâce à un débordement de Laurent qui servait Fredo sur un plateau (6-0). Fredo marquait alors son 10ème but en 14 matchs sur une passe décisive de l’espagnol qui ne provoquera aucune polémique… pour une fois !!!
Avec cet écart au score, je me permettais quelques montées dont j’ai le secret ! Mais, cette année, le secret, c’est que je ne marquerai pas : c’est écrit ! Il y a certainement une occasion que j’aurais mise au fond des filets, c’est celle qu’Aymeric s’est procurée en fin de match. Sur cette action, Fred Bonnet s’était présenté seul devant le gardien. Une sueur parcourut son visage et une remontée gastrique lui brula son estomac. Comme d’habitude, Fred prit la décision de faire une passe décisive à Aymeric, seul à deux mètres du but vide. « L’homme qui marque des coups francs sans faire exprès » tira de façon incompréhensible à côté de la cage. Notre haltérophile a sans doute eu trop de pression puisqu’il fallait qu’il marque en faisant exprès !
À la fin du match, Gilles était entré en jeu sans se blesser et sans toucher le ballon. Steffane, quant à lui, était resté sur le banc sans se changer et donc sans toucher le ballon, non plus ! Puis le Celtic marquait grâce à la percée d’un de leurs attaquants qui trompait Damien d’une frappe croisée (6-1). Leur honneur était sauf.
Voilà, pour ceux qui n’ont pas suivi, nous avons gagné deux matchs ce vendredi : le match de championnat 7 buts à 1 et le match du Challenge CDA 6 buts à 1. Les semaines à venir nous proposent deux matchs qui représentent un réel tournant dans notre saison. Tout d’abord, nous rattraperons notre dernier match en retard le vendredi 17 février contre Bonne Etoile B puis nous jouerons le match au sommet de notre poule face au Real Padami le vendredi 3 mars. Espérons que nous répondrons présents pour ces deux rendez-vous importantissimes !!!
Cédric Balda